Livrable D1.1 Etat de l’art du marquage des biens culturels - projet NOSE
Résumé
As part of task 1.1 of work package 1 “definition of specifications,” a state-of-the-art review of the marking of cultural objects (deliverable D1.1) was requested in order to provide the most accurate snapshot possible of what currently exists in terms of marking. This study will subsequently contribute to the development of the solutions proposed by the project.
This report is based on a compilation of various sources of information, primarily French: various documents (practical guides, protocols, reports related to marking), interviews with sector stakeholders conducted by Corinne Chartrelle and Marine Chanteperdrix based on a questionnaire (Appendix 1 “State of the art of marking cultural goods and collection of needs – marking stakeholders”).
The individuals interviewed were:
Sophie Marmois: Head of Inventory Services at the Louvre Museum,
Florence Mousset: Research Engineer – Responsible for movable archaeological assets, and Bertrand Triboulot: Research Engineer – Territorial Administrator of the Yvelines Department – National Gendarmerie Referent for archaeological looting for the Regional Archaeology Service (DRAC, Regional Directorate of Cultural Affairs of Île-de-France),
Pauline Maillard: Archaeologist, specialist in coroplasty (study of terracotta figurines), and post-doctoral researcher in Greek and Levantine archaeology at the University of Fribourg, Switzerland.
The report is organized as follows: First, we will define the main types of marking existing in the cultural sector (identification, management, security), accompanied by numerous examples. We will detail their advantages and disadvantages. We will then focus on the practices of other sectors (medical, agri-food, etc.). Finally, we will conclude with the actions of public and private stakeholders in the field of marking cultural goods.
Dans le cadre de la tâche 1.1 du workpackage 1 “définition des spécifications”, un état de l'art du marquage des objets culturels (livrable D1.1) a été demandé dans le but d’avoir une photographie la plus précise possible de ce qui existe actuellement en termes de marquage. Cette étude permettra dans un second temps de contribuer au développement des solutions proposées par le projet.
Ce rapport repose sur une compilation de diverses sources d’informations principalement françaises : documents divers (guide pratique, protocole, rapports en lien avec le marquage), interviews d’acteurs du secteur réalisées par Corinne Chartrelle et Marine Chanteperdrix sur la base d’un questionnaire (Annexe n°1 “État de l’art du marquage des biens culturels et recueil des besoins – acteurs du marquage”).
Les personnes interviewées ont été les suivantes : - Sophie Marmois : cheffe de service du récolement au Musée du Louvre, - Florence MOUSSET : ingénieure d’études – Responsable des biens archéologiques mobiliers et Bertrand TRIBOULOT : ingénieur d’étude – Administrateur territorial du département des Yvelines – Référent gendarmerie nationale pour le pillage archéologique pour le Service régional de l’archéologie (DRAC, Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France), - Pauline Maillard : archéologue, spécialiste en coroplathie (étude des figurines en terre cuite) et chercheuse post-doc en archéologie grecque et levantine à l’Université de Fribourg – Suisse.
Le rapport est organisé comme suit : Nous définirons en premier lieu les grands types de marquage existants dans le secteur de la culture (identification, gestion, sûreté), accompagnés de nombreux exemples. Nous détaillerons leurs avantages et inconvénients. Nous nous attarderons ensuite sur les pratiques des autres secteurs d’activités (médical, agroalimentaire etc). Puis nous terminerons sur les actions des acteurs publics et privés dans le domaine du marquage des biens culturels.
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