La surface limite de linéarité d’un matériau architecturé 2D à cellules triangulaires quelconques est calculée de manière semi-analytique. Elle est composée de l’intersection de trois surfaces : 1) la limite d’élasticité du matériau constitutif des poutres, 2) la limite en flambement sur un nombre fini de cellules et 3) la limite de localisation. Les composantes analytiques du tenseur d’élasticité sont également retrouvées pour cette structure.