This study provides a comparative overview of drinking water quality parameters in Africa and the United States, highlighting their implications for public health. Water quality encompasses physical, chemical, biological, and radiological characteristics, with significant variations influenced by source conditions and treatment processes. In Africa, inadequate infrastructure, pollution, and limited resources result in high levels of microbiological contaminants and chemical pollutants, leading to a high burden of waterborne diseases. Pathogens such as Escherichia coli and protozoan parasites like Cryptosporidium and Giardia are prevalent, contributing to substantial morbidity and mortality. Chemical contamination, including nitrates, pesticides, and heavy metals, exacerbates these issues. Conversely, the United States benefits from advanced water treatment technologies and stringent regulations, yet challenges persist. Issues such as lead contamination from aging pipes, emerging pollutants like PFAS, and localized contamination events continue to pose risks. Although regulatory frameworks like the Safe Drinking Water Act and proposed enhancements to the Lead and Copper Rule aim to mitigate these problems, maintaining and upgrading
Cette étude propose un aperçu comparatif des paramètres de qualité de l'eau potable en Afrique et aux États-Unis, en mettant en lumière leurs implications pour la santé publique. La qualité de l'eau englobe les caractéristiques physiques, chimiques, biologiques et radiologiques, avec des variations importantes influencées par les conditions des sources et les processus de traitement. En Afrique, l'infrastructure inadéquate, la pollution et les ressources limitées entraînent des niveaux élevés de contaminants microbiologiques et de polluants chimiques, provoquant une lourde charge de maladies d'origine hydrique. Des pathogènes comme Escherichia coli et des parasites protozoaires tels que Cryptosporidium et Giardia sont courants, contribuant à une morbidité et une mortalité considérables. La contamination chimique, y compris les nitrates, les pesticides et les métaux lourds, aggrave ces problèmes. À l'inverse, les États-Unis bénéficient de technologies de traitement de l'eau avancées et de réglementations strictes, bien que des défis subsistent. Des problèmes tels que la contamination au plomb provenant de tuyaux vieillissants, les polluants émergents comme les PFAS, et des événements de contamination localisés continuent de poser des risques. Bien que des cadres réglementaires tels que la Loi sur l'eau potable (Safe Drinking Water Act) et les améliorations proposées à la règle sur le plomb et le cuivre (Lead and Copper Rule) visent à atténuer ces problèmes, le maintien et la modernisation des infrastructures restent essentiels. Cette étude souligne la nécessité d'interventions ciblées et d'améliorations des politiques. Pour l'Afrique, investir dans l'infrastructure et les technologies de traitement est crucial, tandis qu'aux États-Unis, il est nécessaire de s'attaquer au problème du plomb et des contaminants émergents, ce qui exige une vigilance et un investissement continus. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour évaluer l'efficacité des interventions, comprendre les impacts à long terme sur la santé et développer des solutions durables pour améliorer la qualité de l'eau et la santé publique au niveau mondial.
