La loi du 26 janvier 2024 réforme en profondeur les contentieux des étrangers, administratifs comme judiciaires. Elle simplifie considérablement l’architecture contentieuse en réduisant le nombre de procédures administratives à trois et poursuit la plupart des mouvements de réformes initiés depuis le début du siècle : accélération de certaines procédures, généralisation du magistrat statuant seul dans le contentieux de l’asile, extension de l’audience-vidéo et de la délocalisation des audiences.