[Compte-rendu] Mirella Recio et Guadalupe Soria Tomas (Eds), "El almacén de la Historia. Reflexiones Historiográficas", Madrid, Biblioteca Nueva, 2016, 287 p.
Résumé
Cet ouvrage réunit les actes d’un colloque qui a eu lieu à Madrid en novembre. 2015 et qui venait clore une étape du très ambitieux projet Almahisto. Financé par le ministère espagnol de l’Economie, de l’Industrie et de la Compétitivité, selon les propres termes de son équipe, Almahisto « ha diseñado, desarrollado y alojado en red un repositorio institucional en el que puedan almacenarse todos los documentosnecesarios para desarrollar una investigación historiográfica en el período que va desde la llegada de los Borbones al trono de España (1700) hasta el final de la Guerra Civil (1939) »
Si les interventions les plus techniques du colloque ont disparu de la publication, elles avaient constitué la dernière demi-journée de la rencontre et soulignaient l’irruption des humanités numériques dans les sciences humaines et sociales (SHS) et la révolution technologique qui est en train de changer nos manières de faire et de voir. [...]
[...]
La très grande diversité des articles réunis dans El almacén de la Historia offre donc unéchantillon des immenses possibilités d’études qu’offrent des documents ou des objets quiparlent tout autant de l’époque qu’ils étudiaient ou décrivaient, que de ceux en train de lesétudier ou de les construire. Il y a là comme une invitation à ouvrir la porte du depositorio pour que d’autres, à leur tour, fassent parler les documents et construisent ces nouvellesSciences Humaines et Sociales rendues possibles, notamment, par les humanités numériques.
Si les interventions les plus techniques du colloque ont disparu de la publication, elles avaient constitué la dernière demi-journée de la rencontre et soulignaient l’irruption des humanités numériques dans les sciences humaines et sociales (SHS) et la révolution technologique qui est en train de changer nos manières de faire et de voir. [...]
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La très grande diversité des articles réunis dans El almacén de la Historia offre donc unéchantillon des immenses possibilités d’études qu’offrent des documents ou des objets quiparlent tout autant de l’époque qu’ils étudiaient ou décrivaient, que de ceux en train de lesétudier ou de les construire. Il y a là comme une invitation à ouvrir la porte du depositorio pour que d’autres, à leur tour, fassent parler les documents et construisent ces nouvellesSciences Humaines et Sociales rendues possibles, notamment, par les humanités numériques.