La dématérialisation croissante du quotidien des personnes interroge concernant le sort des données qui en résultent. Surtout, il apparaît que le genre figure, de façon totalement anodine, parmi les données qui peuvent être recueillies par tout type d’algorithme, décisionnel ou non, d’apprentissage ou non. Ce constat conduit à s’interroger sur les risques d’une telle collecte, si cette donnée venait à être exploitée, directement ou indirectement par ces outils numériques.