Francis Ponge's prose poems. Rhythmic reading
Les poèmes en prose chez Francis Ponge. Lecture rythmique
Résumé
In the analysis of Francis Ponge's prose poems, I distinguish three cases:
1) the typography allows the reader to identify paragraphs preceded by a prelude indent and/or followed by a clausal indent. These indents are the basis for metrical equivalences;
2) sometimes, it is a page of prose of which nothing in the typography induces the reader to recognize listed rhythmic forms if it is not their concentration in dense zones, privileging the beginning and the end of poem, even of paragraph;
3) finally, in the absence of any typographical conditioning likely to favor the recognition of equivalences, it is the totality of the text which presents an equivalence of listed.
1) the typography allows the reader to identify paragraphs preceded by a prelude indent and/or followed by a clausal indent. These indents are the basis for metrical equivalences;
2) sometimes, it is a page of prose of which nothing in the typography induces the reader to recognize listed rhythmic forms if it is not their concentration in dense zones, privileging the beginning and the end of poem, even of paragraph;
3) finally, in the absence of any typographical conditioning likely to favor the recognition of equivalences, it is the totality of the text which presents an equivalence of listed.
Dans l'analyse des poèmes en prose de Francis Ponge, je distingue trois cas de figure :
1) la typographie permet au lecteur d’identifier des paragraphes précédés d’un alinéa-prélude et/ou suivis d’un alinéa-clausule. Ces alinéas fondent des équivalences de type métrique ;
2) parfois, c’est une page de prose dont rien dans la typographie n’induit le lecteur à reconnaître des formes rythmiques répertoriées si ce n’est leur concentration en zones denses, privilégiant le début et la fin de poème, voire de paragraphe ;
3) enfin, en l’absence de tout conditionnement typographique propre à favoriser la reconnaissance d’équivalences, c’est la totalité du texte qui présente une équivalence de formes répertoriées.
1) la typographie permet au lecteur d’identifier des paragraphes précédés d’un alinéa-prélude et/ou suivis d’un alinéa-clausule. Ces alinéas fondent des équivalences de type métrique ;
2) parfois, c’est une page de prose dont rien dans la typographie n’induit le lecteur à reconnaître des formes rythmiques répertoriées si ce n’est leur concentration en zones denses, privilégiant le début et la fin de poème, voire de paragraphe ;
3) enfin, en l’absence de tout conditionnement typographique propre à favoriser la reconnaissance d’équivalences, c’est la totalité du texte qui présente une équivalence de formes répertoriées.
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