Il est clair que ce colloque de deux jours qui a réuni un grand nombre d'enseignants, de formateurs et de chercheurs a tenu ses promesses. En adoptant le parti-pris des objets, en opérant un décentrement ou un recentrement à partir d'un système de référence commun, celui des objets « à apprendre » et « pour apprendre », les intervenants nous ont donné beaucoup de grain à moudre. Comment ne pas saluer la cohérence de l'ensemble et la qualité de l'organisation ? Merci à Joël Bisault et aux collègues qui l'ont aidé, et notamment à Roselyne Le Bourgeois, de nous