Ce document forme l'annexe de la lecture critique de Apocalypse Cognitive [1], parue dans la rubrique En débat de Politix [2] . Dans Apocalypse Cognitive, Gérald Bronner fait référence à un certain nombre d’études précises à l’appui de son argumentation. Nous avons essayé d’examiner au fil de la lecture la plupart de celles s’appuyant sur des analyses quantitatives de première main, c’est-à-dire lorsque nous pouvions vérifier les données et leur interprétation, afin d’évaluer si Bronner en fait un usage correct ou pas. Nous avons porté une attention particulière aux études de psychologie cognitive et de neurosciences, qui font l’originalité de ce travail en sociologie et qui sont censées en faire la force, et qui soutiennent la thèse principale des capacités du cerveau humain déterminant les comportements sociaux. Nous avons présenté un certain nombre de ces analyses dans la lecture critique de Politix. Nous ne les reproduisons pas ici mais renvoyons alors le lecteur ou la lectrice à la lecture critique. [1] Gérald Bronner, Apocalypse Cognitive, Paris, Presses Universitaires de France, 2021. [2] Jean-Michel Hupé, Jérôme Lamy, Arnaud Saint-Martin, « Effondrement sociologique ou la panique morale d’un sociologue », Politix, vol. 35, n° 134, 2021.