In cauda summum : péroraisons dans Esther et Athalie - Archive ouverte HAL Accéder directement au contenu
Chapitre D'ouvrage Année : 2018

In cauda summum : péroraisons dans Esther et Athalie

Résumé

Moment privilégié de l’amplification, la péroraison a-t-elle pour fonction d’élever le discours à une intensité sublime ? Les modalités sont-elles d’ailleurs les mêmes dans Esther et Athalie ? Résolument tournée vers le destinataire, la péroraison consiste à interrompre la parole avec brio pour en concentrer l’impact et produire le meilleur effet. Tandis que les silences d’Esther suggèrent l’économie des moyens rhétoriques, la solennité pompeuse d’Athalie semble mieux s’accommoder du climax émotionnel porté par les péroraisons.

Mots clés

Domaines

Littératures
Fichier non déposé

Dates et versions

hal-02293681 , version 1 (21-09-2019)

Licence

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Identifiants

  • HAL Id : hal-02293681 , version 1

Citer

Jérôme Lecompte. In cauda summum : péroraisons dans Esther et Athalie. Françoise Poulet, Guillaume Peureux. Autres regards sur Racine, Atlande, pp.89-106, 2018, 2350304744. ⟨hal-02293681⟩
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