Dégradation d’un anticancéreux dans les eaux usées - Une médaille d’or pour l’équipe GO Paris-Saclay
Résumé
iGEM (pour \textlessi\textgreaterinternational genetically engineered machine)\textlessi/\textgreater est un concours international autour de la biologie synthétique réunissant des étudiants de toutes disciplines (mathématiques, physique, biologie, arts, etc.). « L’objectif est de construire un système biologique fonctionnel complexe, en assemblant des composants individuels moléculaires simples et standardisés (fragments d’ADN), appelés « briques biologiques » (biobriques), sorte de « legos » moléculaires, entreposés au MIT (\textlessi\textgreaterMassachusetts Institute of Technology\textlessi/\textgreater) (le \textlessi\textgreaterregistry of standard biological parts\textlessi/\textgreater contient environ 20 000 biobriques). C’est une démarche proche de celle de l’ingénieur qui assemble des circuits électroniques ». En 2004, lors de sa création par le MIT (\textlessb\textgreater→\textlessb/\textgreater), la compétition iGEM regroupait une quarantaine de projets ; 14 ans plus tard, elle accueille 350 équipes (6 000 étudiants, avec leurs instructeurs) issues des universités du monde entier. Elle culmine en un \textlessi\textgreaterGiant Jamboree\textlessi/\textgreater de quatre jours à Boston en novembre, au cours duquel les équipes présentent leur projet. Le « wiki » de la compétition (www.igem.org) présente l’ensemble des projets ainsi que le palmarès. Cette année, ont été décernées 114 médailles d’or, 68 d’argent et 107 de bronze. Neuf équipes françaises étaient engagées.\textlessb\textgreater(→) Voir l’article de J. Peccoud et L. Coulombel, dont certains passages sont repris dans ce « chapo », m/s n° 5, mai 2007, page 551\textlessb/\textgreater
Domaines
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