Hydrological Evaluation of Urban Greening Scenarios: Application to the City of Nantes, France
Résumé
Urban population is growing and will still increase in the future. Urbanisation modifies both local climate and water cycle. Introduction of vegetation in cities is supposed to be a solution to limit the urbanisation impacts by increasing water infiltration and favoring evapotranspiration. In the framework of the VegDUD project, different greening devices have been identified and specifically studied for assessing their impact on the urban climate and water cycle. At the scale of a large urban area (in the city of Nantes, France), some greening strategies have been simulated: greenroofs, trees/grassed areas and different fractions of natural surfaces. The energy urban scheme TEB with GREENROOF and HYDRO modules allows the evaluation of the greening strategies in regards to urban hydrology and climate. This article focuses on hydrological impacts and presents preliminary results showing that the vegetation fraction impacts more the total drainage or latent heat flux than the vegetation type (high or low vegetation sedum).
La population urbaine augmente et devrait continuer d'augmenter dans le futur. L'urbanisation modifie à la fois le climat local et le cycle de l'eau. L'introduction de la végétation dans les villes est supposée être une solution pour limiter les impacts de l'urbanisation en augmentant l'infiltration de l'eau et en favorisant l'évapotranspiration. Dans le cadre du projet VegDUD, différentes solutions végétalisées ont été étudiées afin de déterminer leur impact sur le climat et le cycle de l'eau urbains. A l'échelle d'un large secteur d'une ville (Nantes), différentes stratégies de végétatlisation ont été simulées : toitures végétalisées, arbres et pelouses et différentes fractions de surfaces végétales. The schéma énergétique urbin TEB avec les modules GREENROOF et HYDRO permettent l'évaluation de ces startégies vis-à-vis de l'hydrologie et du climat urbains. Ce papier se concentre sur les impacts hydrologiques et présente les premiers résultats. Il est montré que la fraction de végétation impacte plus le drainage total ou les flux de chaleur latente que le type de végétation (haute ou basse).