Malacofaunes Pléistocènes de Normandie - Archive ouverte HAL
Chapitre D'ouvrage Année : 2023

Malacofaunes Pléistocènes de Normandie

Résumé

Généralités sur les malacofaunes continentales et les climats quaternaires Le terme ″malacofaune″ est formé du mot grec ″malakos″ qui signifie ″mou″ et du mot ″faune″, qui assemblés répondent littéralement à la définition de ″faune d'animaux à corps mou″, ou plus couramment ″faune de mollusques″. Dans le cas présent, les malacofaunes continentales désignent les ensembles de coquilles de mollusques, terrestres et aquatiques, donc continentaux par opposition à marins, qu'il est possible de retrouver dans les sédiments qui se sont déposés durant le Quaternaire. Les coquilles d'escargots et de limaces (certaines familles de limaces produisent en effet une coquille interne plate appelée ″limacelle″), sont des fossiles très courants dans tous les dépôts sédimentaires carbonatés (limons, loess, sables, tufs, etc.). Il s'agit de microfossiles au même titre que les restes de petits vertébrés (rongeurs, poissons, grenouilles,…) ou que les tests d'ostracodes (crustacés d'eau douce), par opposition aux macrofossiles, qui désignent les ossements des grands mammifères (Bovidés, Cervidés, Ursidés,…), les empreintes de feuilles, etc.
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Origine Accord explicite pour ce dépôt

Dates et versions

hal-04251759 , version 1 (20-10-2023)

Identifiants

  • HAL Id : hal-04251759 , version 1

Citer

Nicole Limondin-Lozouet, Olivier Moine. Malacofaunes Pléistocènes de Normandie. Presses Universitaires de Liège. Les environnements des occupations pléistocènes de Normandie (France) et des îles anglo-nomandes dans leur cadre chronologique, 145, , pp.279-313, 2023, ERAUL Etudes et recherches archéologiques de l'université de Liège, 978-2-87562-349-2. ⟨hal-04251759⟩
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