Le diagnostic archéologique est situé dans l’environnement immédiat d’une nécropole de l’Antiquité tardive et d’occupation médiévale péri-urbaine. Malgré sa surface réduite, le diagnostic a permis de mettre au jour des structures qui viennent compléter les connaissances acquises notamment lors de la fouille de la parcelle voisine conduite par Elsa Sagetat-Basseuil en 2013 et par le diagnostic de Séverine Scalisi avenue Taillandier en 2021. On retrouve en effet les mêmes structures : traces agraires du Haut-empire, caniveau du Bas-Empire, et puits possiblement médiéval ou moderne. En l’absence d’éléments de datation – sinon un tesson de campanienne dans une trace agraire et du mobilier des XIVe et XIXe s. dans la partie supérieure du comblement d’abandon du puits – cette chronologie a été établie par analogie avec les sites voisins.