Pour ce diagnostic archéologique, aucun indice d’occupation humaine n’a été décelé avant les XVe - XVIe siècles. Le toit des dépôts fluviatiles de la Reppe toute proche accueille à cette époque des plantations. Un passage délimité par deux murs pourrait être implanté à la même époque, délimitant des propriétés de part et d’autre et matérialiserait le parcellaire d’alors. Vers la fin du XVIIIe siècle ou le début du XIXe, l’ensemble est dérasé, le passage abandonné, le tout remblayé. La vocation agraire de ces terres persiste. La division parcellaire (?) à l’est subsiste et, à une date inconnue entre le début du XIXe et le début du XXe siècle, vient s’y insérer à angle droit un autre mur (peut-être lié à une division parcellaire). Plus au nord, un mur nord-sud semble correspondre au mur de clôture d’un bâtiment visible sur une photographie aérienne de 1947. Le secteur, est peu à peu gagné par l’urbanisation au cours du XXe siècle et la parcelle est dérasée au début des années 1970 pour y aménager un parking.