Le présent travail vise à introduire la complémentarité des deux médiations projectives que sont le tat et la Libre Réalisation de l’Arbre Généalogique (lrag) tant pour leur pertinence dans l’étude du fonctionnement psychique individuel et de la résonance des enjeux familiaux, qu’en tant qu’opérateur de la relance du travail de symbolisation sous-tendant le processus de subjectivation ; ici mis à mal chez un patient auteur de violences hétéro-agressives hospitalisé en umd. L’association de ces deux outils se base sur leur potentialité de mise en représentation des liens familiaux et de l’inscription subjective qui, inscrits dans un dispositif médiatisé permettrait l’accès au processus symbolisant des vécus psychiques.