La deuxième tranche de la série de diagnostics prévue dans la ZAC des Groues a permis la mise au jour de niveaux de terre végétale dont les tessons indiquent une occupation du lieu à la fin du XIXe – début XXe siècle. Il s’agit vraisemblablement de résidus issus de l’épandage de boues issues des voiries parisiennes qui avaient pour vocation d’amender les sols pauvres de Nanterre. Cet horizon est détruit artificiellement par un nivellement composé de mâchefer lié aux aménagements de la Compagnie des Chemins de Fer de l’Ouest qui acquiert ces terrains à partir de 1910.