En rupture avec les pratiques extensives traditionnelles du pâturage en forêt, le sylvopastoralisme contemporain contribue à structurer de façon plus ou moins forte l'organisation et la gestion des espaces boisés. L'impact des aménagements sylvopastoraux sur la faune sauvage est pour le moment perçu au travers des réactions contrastées des chasseurs et des gestionnaires écologiques : négatives pour le sanglier. Les aménagements sylvopastoraux réalisés en zone de maquis paraissent favorables à l'avifaune.