Physiological effects (heart rate, respiration rate and EEG) of rapid relaxation devices with sensorial immersion: a pilot study
Effets physiologiques (fréquence cardiaque, fréquence respiratoire et EEG) des appareils de relaxation rapide avec immersion sensorielle: une étude pilote
Résumé
Rapid relaxation devices developed by private companies propose rapid solutions to fight against stress or anxiety. However, there have been insufficient scientific studies on these devices. In a previous article, we evaluated the variation of 15 physiological and psychological parameters before and after relaxation in 4 groups of participants using 3 different rapid (15 minute) relaxation devices with sensorial immersion and a control group using no device. This pilot study included 40 participants, 12 males and 28 females, aged 27-68 years old with an average of 42.7 ± 11.5 years old and showed that some parameters were more relevant for the analysis of these relaxation devices and suggested some differences in the relaxation processes between devices. We hypothesized that by analyzing physiological parameters recorded during the rapid relaxation process in the same population, we could unravel the previously observed pre-post treatment variations. The measurements included brain wave electroencephalography (Muse2 EEG) recordings, respiration rhythm (mechanical abdominal movements) and heart rate variability parameters (PPG signals). The objective of the study was to identify the physiological parameters recorded during relaxation of interest to discriminate the groups and to study the effects of the devices on these parameters. The EEG recordings showed differences in dominant waves between groups. In addition, the Be-Breathe intervention group exhibited a decreased respiration rate compared to the control group, and a simultaneous increase in heart rate variability parameters, while other groups showed less significant variations in their respiration or heart rate variables, which was confirmed by a k-means cluster analysis. We discuss how these variations observed during rapid relaxation could contribute to the differences that we previously observed pre and post relaxation interventions. Finally, we built a model to determine which parameters discriminate best between the groups.
Les dispositifs de relaxation rapide développés par des entreprises privées proposent des solutions rapides pour lutter contre le stress ou l'anxiété. Cependant, les études scientifiques sur ces dispositifs sont insuffisantes. Dans un article précédent, nous avons évalué la variation de 15 paramètres physiologiques et psychologiques avant et après la relaxation dans 4 groupes de participants utilisant 3 différents appareils de relaxation rapide (15 minutes) avec immersion sensorielle et un groupe témoin n'utilisant aucun appareil. Cette étude pilote a inclus 40 participants, 12 hommes et 28 femmes, âgés de 27 à 68 ans avec une moyenne de 42,7 ± 11,5 ans et a montré que certains paramètres étaient plus pertinents pour l'analyse de ces dispositifs de relaxation et suggéraient des différences dans le processus de la relaxation entre les appareils. Nous avons émis l'hypothèse qu'en analysant les paramètres physiologiques enregistrés au cours du processus de relaxation rapide dans la même population, nous pourrions démêler les variations pré-post-traitement précédemment observées. Les mesures comprenaient des enregistrements d'électroencéphalographie des ondes cérébrales (Muse2 EEG), du rythme respiratoire (mouvements abdominaux mécaniques) et des paramètres de variabilité de la fréquence cardiaque (signaux PPG). L'objectif de l'étude était d'identifier les paramètres physiologiques enregistrés lors de la relaxation qui pourraiet être d'intérêt pour discriminer les groupes et étudier les effets des dispositifs sur ces paramètres. Les enregistrements EEG ont montré des différences dans les ondes dominantes entre les groupes. De plus, le groupe d'intervention Be-Breathe a présenté une diminution de la fréquence respiratoire par rapport au groupe témoin et une augmentation simultanée des paramètres de variabilité de la fréquence cardiaque, tandis que d'autres groupes ont montré des variations moins significatives de leurs variables de respiration ou de fréquence cardiaque, ce qui a été confirmé par un Analyse de cluster k-means. Nous discutons de la façon dont ces variations observées lors d'une relaxation rapide pourraient contribuer aux différences que nous avons précédemment observées avant et après les interventions de relaxation. Enfin, nous avons construit un modèle pour déterminer quels paramètres permettent le mieux de discriminer les groupes.
| Origine | Fichiers produits par l'(les) auteur(s) |
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