L'article détaille et présente différente bandes dessinées d’inachevées mais publiées du vivant de leur auteur, tâchant de présenter certaines spécificités propres au medium et au choix de publier l'inachevé au sein d'un corpus encore en cours. L’article se conclut à travers une mise en lumière de différents "faux-inachevés". Il s'appuie notamment sur des œuvres de Daniel Goossens, Jean-Claude Forest, Joann Sfar, Emmanuel Guibert, Imagex, Jean-Chritsophe Menu, Jean-Marc Rochette, Olaf, Thomas Gosselin, Brian Chippendale et, plus particulièrement, de Lewis Trondheim. L'article fait suite à une communication tenue lors de la journée d'étude « Avec éclat. La narration par le fragment dans la bande dessinée », tenue à la Haute école des arts du Rhin (Strasbourg) le 17 octobre 2019. La version présentée ici n'est pas illustrée, pour des raisons de droits, contrairement à la version à paraître dans les actes.