S’il est désormais acquis, car cela a été démontré par les contributions précédentes, qu’il existe un droit administratif des élections et que le droit électoral se compose pour partie d’un droit administratif présentant des traits d’originalité, peut-on aller plus loin en posant la question de son autonomie et de l’utilité de cette réflexion ? Quelques éléments de réponse peuvent être avancés afin de conclure ce dossier, en attendant que d’autres travaux approfondissent la problématique